Au fond, la seule vraie question est peut-être: comment croire qu'un seul candidat ou candidate, un seul dirigeant ou dirigeante a vraiment l'intention de changer (ou d'améliorer) un monde qui lui a permis d'arriver là où il (elle) est? Un monde qui lui a donné pouvoir, bien-être, argent et plaisir.
Est-ce qu'on scie la branche sur laquelle on est assis?
D'ailleurs, comment imaginer une seule seconde que les plus riches aient vraiment envie de donner une part de leur richesse aux plus pauvres, que les machos aient une seule seconde envie de donner une part de leur pouvoir aux femmes qu'ils oppriment?
Ils ont à y perdre. C'est donc à ceux qui ont à y gagner à impulser les changements qui leur permettraient, à leur tour, d'être heureux.
A colorier si vous savez le faire avec la souris, moi j'en suis restée aux crayons de couleur.