On se souvient de Dominique de Villepin parlant de la France comme d’une femme aux jambes écartées attendant qu’on la baise… De l’expression de
Imagine-t-on une seule seconde Segolène,
Pas de doute, la conquête du pouvoir titille les mecs sous la ceinture et ce n’est
Le problème est l’après. De Nicolas Sarkozy encore, cette réflexion tirée de la désormais fameuse conversation avec Michel Onfray dans Philosophie Magazine :
« Il y a plus de bonheur à désirer qu’à posséder… J’arrive aujourd’hui au moment où je suis le plus proche du but que je m’étais fixé naïvement il y a des années. Cependant, je vais peut-être vous consterner, mais je suis en train de comprendre la gravité du choix que j’ai fait. Je ne l’avais pas mesurée. »
Eh oui ! Post coïtum omne animal triste (après le coït, tout animal est triste).
Mais est-ce prudent de confier le pouvoir, la décision de faire ou non la guerre et de choisir le devenir d’un peuple, à quelqu’un qui voulait juste « devenir Président »,
Il est encore temps de télécharger sur www.pocket.fr le début de la nouvelle "Erection présidentielle, écrite l'été dernier et ô combien d'actualité.