Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
5 septembre 2007 3 05 /09 /septembre /2007 16:02

 Le dernier numéro du Nouveau Consommateur est en kiosque, avec l’ITV de Jacques Landriot dont je vous ai parlé plusieurs, fois, et mon coup de gueule qui me soulage, dont voici quelques extraits. La suite dans le magazine.  

 

 

 

LA SOCIETE MAL AD E DE LA GESTION[1] 

 

Ils veulent gérer la France comme une entreprise qui doit être rentable… Ce leitmotiv de nos dirigeants n’est pas nouveau. L’obsession de la gestion a commencé dans les années 80, celles des traders, des jeunes loups de la finance et de la glorification de l’entreprise versus la diabolisation des services publics, mais c’est de pire en pire. Rentabilité, oui, s’il s’agit de chasser les gaspillages et d’utiliser au mieux l’argent public. Mais qu’est-ce qu’un élève rentable ? ………… 

Les morts de la canicule 2003 ont été éminemment rentables, parce que c’étaient des vieux dépendants qui coûtaient cher à la société, et que 15 000 décès allègent d’un coup le budget des caisses de retraite, mais comment comptabilise-t-on la souffrance et la solitude de ces vieux et de leur famille  ?......... 

Paradoxalement, l’idéologie de la gestion, individualiste et axée sur la performance, a le même travers que la planification communiste, collective et égalitaire. Dans les deux cas, le bonheur est décrété d’en haut, rationalisé, réduit à des critères matériels et chiffrables. Dans les deux cas, on oublie que le bonheur dépend aussi- surtout ?- de la part irrationnelle de l’humain, de son aspiration à la transcendance, qui en font un être capable d’amour gratuit et de convictions désintéressées, capable de graver des fresques sur des grottes préhistoriques à une époque où survivre était pourtant un enjeu quotidien.  Sans espoir de vendre ses œuvres. Gratuitement.

 « Je veux avoir le temps d’apprivoiser les mouches, 

Je veux l’éternité pour apprendre ta bouche…. 

Je veux me coucher là et n’être pas rentable. »  

 

(Henri Tachan)

 

 

 

 

 



[1] Titre d’un essai passionnant de Vincent de Gaulejac (Seuil, 2005)

Partager cet article
Repost0
24 juillet 2007 2 24 /07 /juillet /2007 15:08

Hier, j’avais une grosse colère sur ce travail qui tue, sur l’in human ité présentée comme une fatalité. Si grosse que j’en ai été stressée toute la journée. Donc, pour reprendre souffle et douceur, voici un extrait de « Autres désirs, autres hommes  » adapté à la saison  

 

Paris l’été. Torpeur moite. La ville somnole derrière des stores baissés tandis que sous les portes cochères s’étalent des lambeaux de fraîcheur. ... 

L’enseigne d’entreprise, la rue Française, six étages à gravir après une nuit blanche, j’avais une jupe longue de velours noir et une blouse de dentelle, tenue du soir incongrue parmi les grues immobiles. Le trou des Halles tenait lieu de grand Canyon, Marco Ferreri y tournait un western. Et sous ma jupe, sur la peau de mes cuisses, ta main impérieuse remontait. Je riais en m’agrippant à la rampe : « Arrête, tu vas me faire tomber », mais j’étais tombée depuis longtemps. Dans tes bras, dans la spirale d’un désir étrange, celui de tes cris quand tu jouis, de ton ventre sur lequel j’étale du bout des doigts ton humidité, de ton odeur sur ma paume… 

Paris torpeur. Des regards posés sur moi pesants comme du plomb fondu. Ici j’errais triste, il y a longtemps, devant un manège qui me rappelait ta façon de me faire tourner dans tes bras jusqu’à ce que j’en perde l’équilibre et le souffle. A vingt ans, on croit que la vie s’arrête quand cesse de tourner le manège, plus tard on sait qu’il repart. Le propriétaire du manège agite au-dessus des enfants une peluche, il faut en saisir la queue pour gagner un tour gratuit. Petite, j’étais experte à ce jeu là. Pour le prix d’un ticket, je faisais dix tours. Je criais : « J’suis forte pour attraper la queue ! » Ce talent là ne s’oublie pas… 

Bord de Seine où j’ouvris ta chemise. Tu avais des yeux dorés, des tourments pleins la tête que je me faisais fort d’effacer, ma bouche a le pouvoir d’aspirer les pensées tristes, mes lèvres ont gardé l’empreinte de cette fossette sous ton nombril, que j’ai longuement parcourue de la langue. Tu haletais, tu avais envie de défaire ta ceinture, du monde passait à deux pas de nous, on ne se dévêt pas en public. Ce jour là, nous sommes passés à deux doigts de l’outrage public à la pudeur. Du bout de ces deux doigts, j’ai effleuré ton gland. Tu as sursauté.  Frisson électrique, moi je mouillais. Ce jour là nous avons frôlé l’électrocution. 

Goût d’alcool dans la bouche, sourires, fous rires. D’une boîte à l’autre, d’une musique « caliente, caliente » à l’autre, nous testons toutes les couleurs du rhum, feuille verte du Mojito,  soleil couchant du Sosua Mama,  traîtrise laiteuse du punch coco, sensualité de la salsa, « Etes-vous content de me voir, ou est-ce votre trousseau de clés ? » C’est l’heure où l’on dit des bêtises, l’heure on l’on rit de tout. L’itinéraire se termine sur ton couvre-lit. J’ouvre ton pantalon, jamais je ne l’ai fait.  « Nous passons à des jeux de grandes  personnes », remarques-tu. L’expression me plaît, assez pour que je te prenne aussitôt dans ma bouche."Quand je serai grande, je veux encore jouer avec toi". Parole tenue depuis vingt ans. .. 

Paris, l’été. Soleil sur les miroirs des tours du Front de Seine, lumière fragmentée. Paris, ville kaléidoscope, je secouerai tes immeubles, j’agiterai tes murs pour créer de nouveaux rêves. Paris, ville puzzle de ma mémoire, je t’éparpillerai dans les os de mon crâne, remue-méninges pour te reconstituer pièce à pièce, recommencer le jeu, te voler au temps et vivre en trois minutes les vibrations de trente ans.

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
29 mai 2007 2 29 /05 /mai /2007 10:11

 Depuis des années, un amoureux des livres, Jean-Louis Guérin organise des "cafés littéraires" pour le plaisir de faire se rencontrer auteurs et lecteurs (trices) au Café de la mairie, 8 place Saint-Sulpice, Paris 6è.

Il m'a demandé d'animer le prochain café sur le thème de l'écriture érotique, mardi 5 juin à partir de 20h30.

Au programme: causerie sur l'écriture érotique, pourquoi, comment, ce qu'elle apporte, ce qu'elle représente.

Lecture de textes par le comédien Pascal Massix, et dédicaces de livres. Tout le monde est bienvenu, ça se passe au 1er étage du café dans une ambiance généralement détendue et joyeuse. Je serai ravie de vous y rencontrer.

Partager cet article
Repost0
15 avril 2007 7 15 /04 /avril /2007 23:28

Il reste six places pour la projection du documentaire "La grande amoureuse". Le jeu sera clos mercredi soir. A vos commentaires pour que je puisse vous envoyer l'invitation correspondante.

Partager cet article
Repost0
8 mars 2007 4 08 /03 /mars /2007 16:46

Plein de choses à faire à mon retour, donc pas le temps d'écrire. Je voulais juste vous dire qu'une bonne part de la nouvelle "Erection présidentielle" qui ouvre mon livre "Autres désirs, autres hommes" est téléchargeable gratuitement sur le site www.pocket.fr Il suffit de cliquer sur la couverture de mon livre, ou de taper mon nom si la couverture n'est pas en ouverture du site, puis de suivre les instructions.

Dès que j'émerge de mon tas de courrier, on reprend le dialogue. N'hésitez pas à mettre ici des petits mots, voire des mots d'amour :)!!!

Partager cet article
Repost0
1 mars 2007 4 01 /03 /mars /2007 14:04

Pour moi, c'est jeudi 8h, pour vous 14h. Je me suis couchée à 3h, après une journée bien intense. Le matin, radio avec Christiane Charrette, LA journaliste qui compte sur Radio Canada et qui a aimé à la fois mon livre, le film de Martine, et surtout moi: comme elle dit, ce sont les personnages qui l'intéressent... tellement qu'elle me pose des questions très très privées :) Heureusement, je suis rodée après les Delarue, Fogiel and Co! Ensuite, déjeuner avec les responsables de Pocket Québec: Emilie, l'attachée de presse a fait un boulot remarquable, et en plus elle est très sympa, comme ses boss du reste. Les rapports pro  sont ici très pro au sens d'efficace, et très cool au niveau humain, bref plus saines qu'en France, ce que me confirmeront le soir plusieurs français émigrés à Montréal.

L'après midi, après un passage éclair chez Martine pour me changer en vue de la soirée de lancement, émission radio sur une station cool avec un couple d'animateurs. Très bien: un bloc de minutes pour promouvoir et faire gagner mon livre à deux auditeurs, un bloc pour parler du documentaire, un bloc pour parler de Martine et moi, et annoncer le lancement du soir au Bain Matthieu, que nous rejoindrons après un dîner chinois avec toute l'équipe de Vidéo Femmes et quelques amis. Le bain Matthieu est une ancienne piscine reconvertie en salle de spectacles et réceptions, très chouette lieu. Et puis je trouve que présenter un film sur moi, ex-aquaphobe, dans une ancienne piscine, est bien pensé!

J'ai un coup de blues en pensant qu'il y a juste un mois maman est morte, elle qui avait tant envie de voir ce film dans lequel elle apparaît quelques secondes. Alors je lui rends hommage en début de soirée, ainsi qu'à papa d'ailleurs. Sans eux, je ne serai pas là, et pas ce que je suis, que je me sois construite en référence ou en réaction à eux, ils m'ont donné les atouts pour le faire...

Le programme est le même qu'à Québec, si ce n'est qu'après la projection, le débat se termine par une petite fête. Plein de gens viennent féliciter Martine pour la qualité de son film. J' ai profité de ce 3ème visionnage pour bien écouter la musique composée par Josué (oui, les copines, le Josué qui vous faisait craquer durant le tournage en France!) qui ne se contente pas d'être un excellent preneur de son- ah, l'enregistrement du bruit de mes pas sur le sable...- mais aussi un excellent donneur de son! Il a fait une musique qui soutient parfaitement l'image et le propos.

A propos de propos, des dizaines de gens viennent me remercier de ce que j'ai dit " qui les fait réfléchir sur leur propre vie" " qui est un hymne au bonheur et à la liberté" "une ode à l'amour et à une sexualité heureuse, respectueuse des autres", " qui donne envie de vivre", etc, etc... Je suis émue car c'est tout ce que j'essaie de transmettre depuis des années et cette fois ci, le message est passé. Est-ce le fait de la culture québécoise plus cool que la notre? Je le saurai si le doc est diffusé en France, au vu des réactions. Un Québécois s'étonnait que ce que je dis puisse faire plus scandale que la pornographie et le sexe marchand. C'est justement là que le bât blesse, dans le fait de faire de la sexualité un mode de communication privilégié... mais gratuit, sans argent, sans rapport de forces, sans culpabilité. Dans le fait de s'intéresser aux hommes juste pour le plaisir de mieux comprendre comment ils fonctionnent. Dans le fait, surtout, de faire tranquillement coexister ces trois mots: femme- libre- heureuse, sur une planète où les femmes opprimées et malheureuses sont un des piliers de l'organisation du monde, parfois avec la complicité et l'assentiment des femmes elles-mêmes, persuadées que l'amour passe par la dépendance...

Partager cet article
Repost0
28 février 2007 3 28 /02 /février /2007 03:55

Lundi 26 au theâtre du petit Champlain, salle très sympa, cosy, bien organisée, projection de "La grande amoureuse". La veille, j'ai decouvert le film chez Pauline. Très difficile de juger un documentaire sur soi... Pas l'habitude de me regarder en gros plan pendant 52 minutes, et puis comme d'hab, je n'aime pas mon image à l'écran, je crois que c'est très courant... Ma bouche, mon menton, mon visage trop mobile... Bref, difficile de juger du fond quand on est gêné par la forme.

Ce lundi soir, je commence par une entrevue avec une journaliste qui, apparemment a lu le livre et vu le film, en tout cas ses questions sont plus nuancées que celles qu'on me pose d'ordinaire... Puis c'est la projection, avec d'abord un court metrage, La Farruca, sensuel, esthétique, très beau. Belle introduction à la soirée. Et enfin the doc. Divine surprise: comme j'ai eu tout loisir hier de me lamenter sur ma laideur extrême :) je peux enfin me consacrer au fond, et au style cinématographique de Martine. Et là, les deux me plaisent, vraiment, il y a eu une belle alchimie entre nous deux... Après la projection, débat passionnant et passionné avec le public, chaleureux, drôle... puis signature de "Autres désirs, autres hommes" où, comme d'hab, les gens sont venus me raconter leur vie la plus intime... Dans ma prochaine vie, je ferai curé ou psychothérapeute!!! Bref une belle soirée...

Cet après midi, émission TV sur Canal Vox, sur le thème "l'amour véritable peut-il ne pas être exclusif?" Martine et moi formons un magnifique duo Karsenty pour commenter à le fois son doc et mon livre' Ca s'appelle de la communication en synergie. Emission sympa où j'ai pu constater que les québécois sont plus libres des schémas classiques que les français" Question de culture sqns doute, en tout cas leur esprit de tolérance est bien rafraîchissant. L'animatrice était visiblement contente de ce qui se passait à l'antenne. Bon, encore plus de minuit, je dors em moyenne six heures par nuit et demain on a encore bien du boulot, donc... une petite sieste, et au lit!

Partager cet article
Repost0
27 février 2007 2 27 /02 /février /2007 01:17

A l’heure où paraîtront ces lignes, décalage horaire oblige, je devrais être en train d’assister à la première projection presse du documentaire de Martine le 26 février à 19h30 au théâtre petit Champlain de Québec et le 28 février au bain Matthieu à Montréal. Si vous êtes dans le coin, ou avez des potes à Montréal, l’entrée est libre. Ensuite rencontres avec des journalistes québécois pour le documentaire de Martine et pour « Autres désirs et autres hommes . »

 

A priori je ne devrai pas avoir beaucoup de temps pour nourrir ce blog…

 

Je serai le 17 mars à 11h au salon des Thermalies ( Palais des Congrès, porte Maillot) pour une causerie sur « Thalasso et libido » ( J ) et le 24 mars de 15h à 17h au Salon du Livre sur le stand Pocket (Univers poche) . Peut-être l’occasion de transformer ce dialogue virtuel en vraies rencontres.

 

Partager cet article
Repost0
24 février 2007 6 24 /02 /février /2007 12:42

 

Fin 2002, Martine Asselin , vidéaste québécoise, est tombée sur un article de Marie - Claire sobrement intitulé : « Un mari, deux enfants, quatre amants… » Pourquoi quatre plutôt que deux ou douze, mystère ! Martine ne s‘est pas arrêtée à ce titre abrupt : elle a lu « Aimer plusieurs hommes  » et a voulu me rencontrer pour une série documentaire qu’elle préparait sur « La normalité : qu’est-ce qu’être normal ou anormal ? » Je lui ai répondu :

 

Tous les jours on licencie des centaines de personnes dans des entreprises qui font des milliards de bénéfices,  on bombarde des enfants au nom de guerres dont tout le monde a oublié les raisons, on vend sur Internet des gamins à baiser et des insignes nazis, on érige le marketing et la publicité au rang des Beaux-arts … et tout cela fait partie du monde « normal ».

 

Mais quand je dis que je me sens libre d’aimer, physiquement, intellectuellement et affectivement plusieurs hommes , ouh lala !  Je suis anormale !

 

Eh bien je préfère mon anormalité à leur monde prétendument normal. »

 

Ont suivi entre Martine et moi quatre ans de conversations de Paris à Montréal, la recherche de financements, la construction de son projet… Nous nous sommes fait confiance, la preuve : je ne sais absolument pas à quoi ressemble son film fini. Je le saurai le 25 février en arrivant au Québec, avant les projections presse où elles m’ont invitée, le 26 à Québec, le 28 à Montréal.

 

Il n’y a rien que j’aime davantage que transformer un rêve en projet et un projet en réalité… Merci à Martine, Olivier, Josué, Pauline…  pour le Québec et aux amis d’ici qui ont accepté d’être filmés.  

  

SOUVENIRS DE TOURNAGE
Partager cet article
Repost0
20 février 2007 2 20 /02 /février /2007 17:58

Ca y est, je l’ai en mains. C’est toujours émouvant de découvrir un livre qu’on a écrit, si différent du texte écran et même du manuscrit sur papier. Le livre fini est comme un enfant qui s’éloigne de sa mère et inspire la même fierté : va, petit, vis ta vie… 

Evidemment, je le trouve beau ! Je ne bouderai pas ce plaisir de relire quelques pages et de m’étonner d’avoir écrit ceci ou cela. De me dire une ultime fois « tiens, j’aurais pu rédiger différemment tel ou tel passage… » 

Les textes de ce recueil me rappellent les moments où une situation, une confidence, un son, un spectacle, une ambiance m’ont donné l’idée d’une nouvelle. Toute cette période où je suis comme une éponge, j’absorbe tout, je regarde les autres- surtout les hommes  !- et j’essaie de les comprendre. 

Un ami m’a dit : « tu as un regard d’entomologiste sur les hommes  ». C’est assez vrai. Cela ne veut pas dire que ce regard n’est pas aimant. La passion des scientifiques pour leur sujet d’études est constante, totale, c’est toute leur vie …  Et j’avoue qu’en relisant certains passages, je me suis dit « tout de même, à force, je commence à connaître les hommes... Mais on peut toujours progresser.   

 

 

 Un candidat à la Présidentielle, une quincaillière de province, une beurette des cités, un bachelier homosexuel, deux amoureux qui se retrouvent, un broussard blanc à Abidjan : tous les personnages de ces nouvelles savent saisir l’instant précis où naît le désir, souvent inattendu, insolite, et toujours excitant. L’émotion et la tendresse sont également au rendez-vous dans des textes plus courts … et dans un conte fantastique « Jeux de miroirs », où tout est permis.

           En librairie le 1er mars.

 

 

 

                 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0

PrÉSentation

  • : JOUER AU MONDE
  • : "Faire d'un rêve une réalité": Humeur, humour, coups de gueule et coups de soleil.
  • Contact

AUTRES MONDES

Depuis le 31/12/2013, le site Autres Mondes n'est plus actif, mais vous pouvez toujours aller y voir   la superbe vidéo d'Himlico

et la non moins superbe vidéo sur "Aimer plusieurs hommes",  toutes deux réalisées par Douze Films Prod (www.douzefilms.fr) 

Pour être informé de la disponibilité de "Aimer plusieurs hommes"et de "Himlico et autres contes", contacter: simpere.autresmondes@gmail.com 

  "Autres désirs, autres hommes" étant épuisé en version papier, il a été réédité en ebooks regroupant les nouvelles par thèmes: Que vous aimiez le sexe entre amis (sex-potes), les aventures insolites (Belles rencontres) la transgression (Jeux et fantasmes) vous y trouverez votre compte.  En vente chez IS éditions   et sur la plupart des plate-formes de livres numériques, plus FNAC, Amazon, etc. Sexe-potes.jpg

 
 

 

 


 

Recherche

FAN-CLUB

Françoise Simpère (nouvelles de)

ma vie, mon oeuvre, mais surtout mon oeuvre

LIVRES QUE J'AIME

                                                                                                 lien-guide.jpg  

                                          
                                                                    des questions, des réponses, l'ouverture des possibles

L’érotisme est au coin de la rue

Le livre du grand Tout


Un livre indispensable
voyages torrides et beaux paysages
une belle histoire de peau et de coeur
documenté, ça énerve parfois, ça fait aussi du bien
à découvrir ou redécouvrir pour la finesse de l'analyse et de l'écriture